Faut-il arrêter de travailler pendant qu’on jeûne ?

Jeûner : l’occasion idéale de se consacrer entièrement à … soi ! 

Si votre agenda le permet, jeûnez, sans travailler ! Surtout si c’est l’un de vos premiers jeûnes

Si vous n’avez pas beaucoup l’habitude de jeûner, garder vos horaires de travail habituels maintient les probables contraintes inhérentes, le stress, la fatigue, le temps que vous accordez aux autres. Si vous pouvez l’éviter, vous profiterez mieux de votre jeûne.

C’est aussi préférable de jeûner sans travailler si vous avez un métier très exigeant physiquement. En jeûnant, vous pouvez traverser des moments de fatigue, voire de faiblesse. Ils sont passagers mais il est difficile de les prévoir.  Selon les emplois, il est intéressant de garder un travail à temps partiel.

Les jeûneurs expérimentés ont plus facilement le choix, car quand le jeûne n’est plus qu’une sorte de procédure d’entretien régulière, partie intégrante de notre hygiène de vie, travailler en même temps ne pose aucune difficulté. Les jeûneurs expérimentés vous le diront.

Ce n’est pas pour autant qu’on souhaite cumuler les deux : jeûner, c’est vraiment le moment de faire une pause de toutes ses contraintes habituelles. C’est aussi un éloignement et comme un jeûne… des horaires, des obligations, des relations professionnelles, du stress, etc. Cela vous permet de vous accorder tout le temps pour vous chouchouter comme c’est génial de le faire quand on jeûne : se reposer, se promener, prendre des bains, faire un hammam, s’offrir un massage, méditer, lire un livre inspirant, s’occuper de son état émotionnel…

Mon conseil : pour les premiers jeûnes, faites-les sur une période de congés. Et même, quittez votre environnement familier pour aller jeûner dans un lieu agréable et sans aucune contrainte pour vous (même pas de lessive ni de repas à faire pour la famille, par exemple). Quand vous êtes à l’aise en jeûnant, choisissez de travailler, ou non ! Changez d’un jeûne à l’autre, en fonction de vos préférences avec les expériences.